À celles et ceux qui s’interrogent toujours afin de savoir pourquoi c’est tellement facile de se lever lorsque le réveil sonne le dimanche pour partir au ping, alors que c’est si dur de le faire lorsqu’il sonne à la même heure tout au long de la semaine pour partir à l’école ou au travail.
À celles et ceux qui, avant de partir au gymnase, rouvrent toujours au moins une fois GIRPE ou SPID pour vérifier qu’ils ont bien tout préparé.
À celles et ceux qui se demandent avant de s’endormir s’il serait mieux de mettre du 1,5 ou de 1,8 sur la plaque revers du petit Mathéo.
À celles et ceux qui, après avoir tout donné sur une séance au panier, se répètent une fois encore que ce serait bien si ces fichues balles pouvaient enfin apprendre à se ramasser toutes seules.
À celles et ceux qui montent tellement souvent la salle qu’ils savent replacer les pieds des séparations et les tables de marqueurs au centimètre près.
À celles et ceux qui traitent des mails, montent des dossiers de subvention, valident des licences, demandent des homologations et qui d’une manière générale font aussi vivre le ping depuis chez eux derrière leur ordinateur.
À celles et ceux-là comme à tous les autres passionnés ;
